Les situations d’urgence informatique se multiplient
Attaque informatique, sinistre sur la salle ou les infrastructures, malveillance interne, pelleteuse, erreur d’exploitation, panne électrique, … les raisons qui conduisent une direction informatique à devoir gérer une situation d’urgence sont nombreuses.
Mais ces situations ne surviennent pas toujours au bon moment : souvent les hommes clé sont absents, injoignables, ou en vacances, la nuit… Il faut pourtant être en mesure de prendre les bonnes décisions, parfois très rapidement.
La vitesse de réaction est déterminante
En matière informatique, la clé est souvent la rapidité de réaction. Autrement dit, il faut être capable de réagir très rapidement quand un événement catastrophique survient. L’expérience montre que l’unité de compte est souvent la minute.
Que faire en cas de panne de climatisation, de fraude interne, d’attaque virale, de divulgation massive de données clients ou personnelles, de surcharge réseau, de pelleteuse, de vol de portable sensible, d’intrusion physique …?
Les bonnes pratiques existent
Les enseignements des crises survenues dans d’autres secteurs (non informatique) peuvent souvent être transposés : établissement de check lists, main courante, organisation de la cellule de crise, etc., tout en étant en ligne avec la réalité informatique , la technologie, les solutions offertes par le cloud, la mobilité, la virtualisation, les réseaux collaboratifs…
Par ailleurs, les derniers retours d’expérience en provenance de la tempête Sandy à New York ou des derniers exercices généraux cyber-attaque pour entreprises (Cyberfenua 2017 et 2018) notamment ont montré que les DSI détiennent les outils de la résolutions des situations de crise plus générales (utilisation des systèmes collaboratifs, réseaux sociaux internes) – en place dans de nombreuses entreprises.
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